Le musée

Le musée

[restabs alignment= »osc-tabs-left » responsive= »true » icon= »true » text= »Plus » class= »onglet » tabcolor= »#ED0012″ tabheadcolor= »#fff » seltabcolor= »#C4000F » seltabheadcolor= »#fff » tabhovercolor= »#FF2031″] [restab title= »Présentation » active= »active »]

Présentation

 

luthier

Jean-Baptiste PAJOT (1863-1935)           « Jenzat was made for you and me »

 

 

 

 

Maison du luthier / Musée

Folk Music Museum

 

Face aux conduites des peuples stigmatisées par Montesquieu (1689-1755),

« Les peuples d’Europe ayant exterminé ceux de l’Amérique, ils ont dû mettre en esclavage ceux de l’Afrique, pour s’en servir à défricher tant de terres. »

Charles Louis de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu, De l’Esprit des lois », Livre XV, chapitre V, Genève, 1748.

…il semble honnête aujourd’hui de recueillir et revendiquer les cultures autochtones si menacées par toutes sortes de nuisants incompétents, de les défendre comme des droits civiques et d’étudier les traditions musicales et le « Folk Song » initié par Woody Guthrie, Pete Seeger, Joan Baez et Bob Dylan, poursuivi ensuite dans le monde par le mouvement « Folk » international. D’où l’intitulé [ Folk Music Museum].

“This land is your land, this land is my land

from California to the New York Island,

from the redwood forest to the Gulf-Stream waters

this land was made for you and me.”

Woody Guthrie, “This Land Is Your Land”, tiré de Pete Seeger, American Favorite Ballads, Tunes and Songs as Sung by Pete Seeger, Oak Publication, London, 1961

 

C’est ainsi que la Maison du luthier / Musée vous raconte l’histoire des luthiers de Jenzat, facteurs de vielles et cornemuses, réparateurs d’accordéons, saxophones, flûtes, tambours, marchands de clarinettes, violons et mandolines en cet heureux val de Sioule, au coeur du Bourbonnais. Au delà le musée présente et conserve le patrimoine instrumental des musiques traditionnelles françaises.
Le musée occupe l’ancienne maison de Jacques Antoine Pajot (1845-1920), située dans le quartier des facteurs de vielles de Jenzat, capitale mondiale de la fabrication des vielles. Collection de vielles à roue, cornemuses et autres instruments ; collection d’outils employés par les luthiers ; atelier des vielles ; atelier des cuivres (1934). Salle d’étude ; bornes documentaires ; auditorium avec films sur la facture et le jeu de la vielle. On fabrique des vielles à Jenzat depuis 1795.

 

The Maison du luthier at Jenzat is devoted to ethnologic heritage, its purpose being to present a very specific tradition in musical instrument-making, shown in its original setting. The Museum is housed in the former home of the instrument-maker J.-A. Pajot (1845-1920), in the neighbourhood where the hurdy-gurdy makers lived in Jenzat (“Aymard”, “Decante et Cailhe”, “Nigout”, “Pimpard Cousin”, “Pimpard Cousin fils”, “Pajot fils”, “Pajot jeune”, “Tixier”) Europe’s main centre for the making of hurdy-gurdies in the 19th and 20th centuries. It includes a collection of hurdy-gurdies, bag pipes and other musical instruments ; a collection of tools used by instrument-makers ; the hurdy-gurdy workshop ; the brass instruments workshop (1934) ; a room for studying and viewing video films about making and playing the hurdy-gurdy ; an interactive terminal. Hurdy-gurdies have been made in Jenzat since 1795.

[/restab]
[restab title= »Histoire du musée » class= »onglet »]

Les collections et leur histoire (1)

Les outils des luthiers de Jenzat

 

DécorLe centre luthier de Jenzat attire, dans un premier temps, l’attention des musicologues par les qualités de facture des vielles à roue. Ce patrimoine instrumental suscite depuis la fin du XIXe l’intérêt de nombreux musées et collectionneurs du monde entier.

Dans un deuxième temps, après 1950, les muséologues sous l’influence de Georges Henri Rivière, s’intéressent à l’ensemble culturel de la facture instrumentale.

Dès 1959, monsieur Favière, conservateur du musée de Bourges souhaite installer deux vitrines consacrées à la vielle au musée de Montluçon, il réclame dans ce but le concours de Jacques Pajot, patron de la maison Pajot Jeune à Jenzat.

En 1960, une collection importante est réalisée par le musée national des Arts et Traditions populaires à Paris (MNATP, actuellement délocalisé à Marseille : MUCEM) suite aux visites, chez monsieur Pajot du directeur de ce musée, Georges Henri Rivière, et aux enquêtes en 1959 des ethnomusicologues du MNATP, chercheuses au CNRS, Claudie Marcel-Dubois et Marguerite Pichonnet-Andral.

En 1983 et 1984, une campagne d’enquêtes et une exposition de préfiguration du musée de Jenzat étaient réalisées par Jean-François Chassaing, ethnologue, sur financement du Ministère de la Culture (Mission du Patrimoine ethnologique, appel d’offre). En 1986, la création de la Maison du luthier / Musée (travaux financés par le Ministère de la Culture, inauguration en juillet par Jean Cluzel, Président du Conseil général de l’Allier) permettait l’acquisition d’une très importante collection d’outils grâce à la donation de Jacques et Hélène Pajot.

En 1991 la ville de Montluçon, en concurrence déloyale avec le musée de Jenzat qui avait pris en charge officiellement le patrimoine luthier de Jenzat depuis 1986, achète pour son musée une collection d’outils de lutherie que M. Boudet vient d’acquérir auprès des établissements Pajot. Ce déplacement de collection réalisé au détriment d’une collectivité et sans son accord est contraire aux règles de l’ICOM, c’est pourquoi la Maison du luthier / Musée réclame le retour de cette collection, déplacée aux frais des contribuables avec plusieurs enrichissements personnels au passage.

Après 1935, la plus grande partie des outils de lutherie appartient à la maison Pajot Jeune car celle-ci est la dernière en activité à Jenzat. A partir de 1991 les collections sont partagées entre les musées de Paris (MNATP), Montluçon et Jenzat. Les outils ont été brassés et distribués, certains viennent de l’atelier Pimpard, d’autres de l’atelier Nigout, d’autres de l’atelier Tixier, d’autres de chez J-B. Pajot. Seule une étude minutieuse de ces objets permet de remonter aux luthiers utilisateurs.

Le musée de Jenzat a entrepris cette étude et plusieurs autres concernant la diffusion des vielles, le négoce, la restauration, l’usage de certains outils tels que les règles à clavier.

Jean-François Chassaing, conservateur de la Maison du luthier / Musée

(1) La chronologie des acquisitions effectuées par le musée de Jenzat (1983-2013) et l’historique des acquisitions réalisées à Jenzat par le MNATP et le musée de Montluçon, sont développés dans : Jean-François CHASSAING, Le Trésor des luthiers, catalogue et histoire des collections de la Maison du luthier / Musée à Jenzat (Allier), préface de Florence GETREAU (CNRS), édit. Amis de la vielle, Jenzat, 2013.

The collections and their history

Tools of the Jenzat instrument-makers

 

DécorThe instrument-making centre of Jenzat draws the attention of musicologists because of the high quality of the work, and the makers’ specialization in a single instrument, namely the hurdy-gurdy. This heritage has long since aroused the interest of museums.

In 1959, Mr. Favière, the curator of the Bourges Museum, wished to set up two glass-cabinets devoted to hurdy-gurdies in the Montluçon Museum; to do so, he requested the aid of Mr. J.-A. Pajot, Maison Pajot Jeune at Jenzat.

As early as 1960, an important collection had already been made by the Musée National des Arts et Traditions Populaires in Paris, as a result of several visits Georges-Henri Rivière, the curator of the museum, had paid to Mr. Pajot, and of the inquiries made in 1959 by two MNATP musicologists, Claudie Marcel-Dubois and Marguerite Pichonnet-Andral, research workers at the CNRS.

In 1984, an exhibition prefiguring the Jenzat Museum was financed by the Mission du Patrimoine Ethnologique of the Ministère de la Culture. In 1986, the foundation of the Maison du Luthier-Musée allowed the acquisition of a very important collection of tools (see the hurdy-gurdy workshop), through a donation by Jacques and Hélène Pajot, and as a consequence of the inquiries (1983-1984) made by Jean-François Chassaing, an ethnologist.

In 1991, the city of Montluçon bought a collection of tools from Mr. Boudet, an instrument maker, for its own museum ; originally, these tools were part of the Pajot Jeune collection.

After 1935, the major part of the tools for musical instrument making belonged to the Maison Pajot Jeune, for at the time their workshop was the last one still in operation in Jenzat. From 1991 on, the collections have been shared out among the museums of Paris (MNATP), Montluçon and Jenzat. The tools have been shuffled and reshuffled and dealt out, some coming from the Pimpard workshop, some from the Nigout workshop, others from the Tixier workshop, others again from the J.-B. Pajot workshop. Only a close study of the various items can result in finding out the identity of their original owners.

The Jenzat Museum has started research in this field, as well as in others concerning the circulation of hurdy-gurdies, the trade and restoration of the instruments, the use of certain specific tools, such as the Keyboard-rulers.

 

Jean-François Chassaing

 

[/restab]
[restab title= »Collections du musée » class= »onglet »]

IMG_9836

 

 

 

 

cartel6

 

cartel7

 

cartel8

 

[/restab]
[restab title= »Le conservateur » class= »onglet »]
Jean-François Chassaing

 

Fonction en 2021 : Conservateur de la Maison du luthier / Musée à Jenzat (Allier).

 

Travaux

Né en 1952 à Vichy, il collecte dès 1975 les musiques auprès des chanteurs, chanteuses, accordéonistes, joueurs de violon, vielle à roue. Après une licence et une maîtrise de psychologie (Clermont-Ferrand, 1976-1977) il est titulaire d’un DEA en ethnologie (Université Lyon 2) ; à 26 ans il est inscrit en thèse de doctorat en ethnologie. Il devient chargé de cours en Ethnomusicologie et Anthropologie sociale et culturelle à l’Université Lyon 2 où il enseigne de 1978 à 1984. En 1981 il soutient sa thèse sur « La tradition de cornemuse en Basse-Auvergne et Sud Bourbonnais », jury présidé par Maguy Pichonnet-Andral, MNATP/CNRS. En 1979 il est président fondateur de l’association des Musiciens Routiniers. En 1983, il fonde les Amis de la vielle et inaugure la Maison du luthier / Musée à Jenzat en 1986. En 1984-1985 il fonde et met en place l’Agence des musiques traditionnelles d’Auvergne et devient en 1987 instituteur de l’Education nationale puis psychologue scolaire.

 

En 1992, au Musée de l’Homme à Paris, il suit le cours d’organologie de Geneviève Dournon (CNRS/Paris X-Nanterre) et en 1998-1999 il travaille au catalogage des instruments de musique au Musée national des Arts et Traditions Populaires à Paris avec Florence Gétreau (MNATP/CNRS).

 

En 2001 il est inscrit par le Conseil national des Universités sur la liste de qualification aux fonctions de Maître de conférences en Histoire de la musique et Musicologie.

 

Monographies

►2015, Béchonnet et les cornemuses en France, éd. Amis de la vielle, Jenzat, 144 p.

►2014, Joueurs de vielle en France (1857-1927), éd. Amis de la vielle, Jenzat, 144 p.

►2013, Le trésor des luthiers, catalogue et histoire des collections de la Maison du luthier / Musée à Jenzat (Allier), préface de Florence Gétreau (CNRS), éd. Amis de la vielle, Jenzat, 132 p.

►1987, La vielle et les luthiers de Jenzat, éditions A. de science, Combronde, 144 p.

►1983, La tradition de cornemuse en Basse-Auvergne et sud Bourbonnais, thèse pour le doctorat en ethnologie, publiée avec le concours du Centre national des Lettres, préface de Bernard Lortat-Jacob (CNRS), éd. Ipomée, Moulins, 284 p.

 

Coordination d’ouvrages

► 2012, L’Harmonie au village, histoire de fanfare avec la Société Musicale de Jenzat 1912-2012, éd. Amis de la vielle-SMJ, Jenzat, 132 p.

► 1985, Musiques traditionnelles en Auvergne, pratiques contemporaines, enquête préliminaire à la création de l’Agence des musiques traditionnelles d’Auvergne, Drac Auvergne, 1985, 60 p.

 

Publications dans les catalogues d’expositions

► 2012, « Coup d’œil sur les photographes de l’Allier (1850-1950) », Nouvelles images, les débuts de la photographie dans l’Allier, cat. exp. Moulins, Ass. des Musées Bourbonnais, édit. Nouvelles éditions Loubatières, pp. 3-22.

► 2009, « Arrivée de la vielle à Jenzat », Bourbonnais baroque ? Aspects du baroque et du classicisme aux XVIIe et XVIIIe siècles dans l’Allier, cat. exp., musée de Souvigny, Annie Regond et Henri Delorme (dir.), p. 123.

► 2008, « Le joueur de vielle : un musicien entre situation et représentation », Le Vielleux, métamorphoses d’une figure d’artiste du XVIIe au XIXe siècle, cat exp., Monastère royal de Brou, Fage éditions, pp. 88-95.

► 2008, « Spécificité de la vielle Bressanne », Le Vielleux, métamorphoses d’une figure d’artiste du XVIIe au XIXe siècle, cat exp., Monastère royal de Brou, Fage éditions, pp. 80-87.

► 2007, « Culture de l’argile et représentation de la terre » pp. 6-20, « Plaques foyères en terre cuite de l’Allier » pp. 112-118, « Familles de potiers, tuiliers, briquetiers de l’Allier (1809-1937) pp. 254-168, Terres en Bourbonnais, la terre et ses usages à travers les collections des musées de l’Allier, cat. exp. Moulins, Ass. des Musées Bourbonnais.

► 2005, « La facture instrumentale », Métiers d’Arts en Auvergne, encyclopédie du voyage, Gallimard, pp. 34-35.

► 2005, Notice « La cornemuse Lardy », Cornemuses de France, de Bourgogne et d’ailleurs, éd. FTM Presse, Fontaine-lès-Dijon.

► 2003, « Représentations d’un rituel », Entre chien et loup, la veillée naissance d’un mythe ? Les veillées d’Auvergne du XIXe siècle à nos jours, cat. exp., musées de Riom, Somogy édit., pp.10-18.

► 1991, Equipement et techniques des luthiers de Jenzat. Guide, Maison du luthier, musée de patrimoine ethnologique, Jenzat, 1991, 37 p.

► 1984, La vielle et les luthiers de Jenzat, cat. exp., Jenzat, 1984, 15 p.

 

Articles publiés dans les revues, ouvrages collectifs, dictionnaires.

► 2003, Notices, Dictionnaire de la Musique en France au XIXe siècle, dir. J.-M. Fauquet (CNRS), librairie Arthème Fayard, Paris.

► 2003, « Jean-Baptiste Bouillet, premier ethnographe de l’Auvergne », livret du double CD : « Et maintenant à nous de jouer ! Musiques du Puy-de-Dôme de 1828 à 2003», Avril 2004, Amta et Addmd 63, pp. 3-20.

► 1999, « La musique », Encyclopédie Allier/Bourbonnais, éd. Christine Bonneton, Paris.

► 1999, « Le réseau des vielles à roue, diffusion ou identification ? », Revue d’Auvergne, Musiques traditionnelles en Auvergne, Universités de Clermont-Ferrand n°550, pp.112-120.

► 1996, « La relation luthier-musicien », Vielles à roue, territoires illimités, Modal n°5, publié avec le concours du ministère de la culture, Pierre Imbert dir., Famdt éd., pp. 104-113.

► 1982, « Données ethnologiques concernant les espaces musicaux en Auvergne occidentale, les instruments », colloque : La vie de relation en Auvergne occidentale, dir. Pierre Bonnaud, Clermont-Ferrand.

► 1981, « Cornemuses en Périgord Noir », Plein jeu n°1, revue des Musiciens Routiniers, Lyon.

► 1979, « Aspects de la tradition de cornemuse en Basse-Auvergne et sud Bourbonnais », Musiques et instruments traditionnels, Ethnologia, publié avec le concours du CNRS, n°10, Limoges.

► 1978, « La musette Béchonnet », L’Escargot Folk ?, n°50, Paris, pp. 16-19.

 

Deux articles publiés dans la revue Musique-Images-Instruments

►2012, « Aux origines de l’ethnographie musicale en France. Les ‘musiques pittoresques’ aux expositions universelles », in Musique-Images-Instruments, La musique aux Expositions universelles, n°13, CNRS éditions, Paris.
►1998, « A propos de quelques règles à clavier de vielles à roue », Musique-Images-Instruments, n°3, CNRS-Klincksieck, Paris, pp. 178-185.

 

Huit articles publiés dans le Bulletin de la Société d’Emulation du Bourbonnais

►2016, « Joueurs de vielle en Bourbonnais. Transfert d’un instrument de musique, signe social et culturel », Bulletin de la Société d’émulation du Bourbonnais, juillet 2016, pp. 89-104.

►2013, « Note sur la diffusion des violons en Allier et en Auvergne entre 1875 et 1925 », Bulletin de la Société d’émulation du Bourbonnais, décembre 2013, pp. 497-517.

►2011, « Invitations au bal par les cousins et les cousines en Forterre bourbonnaise au début du XXe siècle», Bulletin de la Société d’émulation du Bourbonnais, décembre 2011, pp. 501-518.

►2009, « Du rituel communautaire à l’événement médiatique : les concours de vielles et de cornemuses en Bourbonnais », Bulletin de la Société d’émulation du Bourbonnais, mars 2009, pp. 370-394.

►2006, « Jean-Baptiste Bouillet, premier ethnographe de l’Auvergne », Bulletin de la Société d’émulation du Bourbonnais, 2e trim. 2006, pp. 118-152.

►2004, « Plaques de foyer en terre cuite en Bourbonnais, Claude Fraisse fabricant à Lourdy (1777-1843) », Bulletin de la Société d’Émulation du Bourbonnais, Moulins, 2004, pp.18-37.

►1995, « Nicolas Bigourat, luthier à Moulins », Bulletin de la Société d’Émulation du Bourbonnais, t. 67, pp. 484-490.

►1984, « La tradition de cornemuse en Bourbonnais, le monde des cornemusiers contemporains », Bulletin de la Société d’Émulation du Bourbonnais, t. 62, pp. 63-73.

 

Articles publiés dans Trad magazine

►2003, «Laurent Grillet, 1851-1901, du traditionnel au baroque, par Jenzat et Paris», Trad magazine, n°90, Juillet-août 2003, pp. 48-49.

►2000, «Alain Barse, la voix de son ancêtre Michau la Tchièbre», Trad magazine, n°71, mai 2000.

►1997, « L’espace commercial d’un luthier, dispersion des instruments, mobilité des musiciens », Trad magazine, n°54, 1997, pp. 34-36.

►1995, « Le centre luthier de Jenzat, le contraire d’un conservatoire des formes et des genres », Trad magazine, n°41, 1995, pp. 32-34.

 

[/restab]
[/restabs]